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Le succès de Nature-Action Québec repose sur la force de notre équipe. Plus de 100 professionnels dévoués à la protection de l’environnement qui ont choisi d’œuvrer au sein d’un organisme à but non lucratif, dont ils partagent les valeurs et l’engagement. Chaque année, près de 350 projets environnementaux y sont réalisés.

 

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Author: Sachat Bonnot

181 nouveaux hectares protégés par NAQ, ses partenaires et plusieurs donateurs privés en 2022

Les bilans sont faits : Nature-Action Québec (NAQ), en collaboration avec ses partenaires de longue date, a protégé 181 hectares (ha) de milieux naturels en 2022, et ce, dans plusieurs régions du Québec. La contribution de donateurs privés a également été remarquable lors de la dernière année. Au total, ce sont maintenant 1 242,6 ha de terres (soit plus de 135 millions de pieds carrés) qui sont protégées à perpétuité au nom de NAQ au Québec.

Une future table de concertation pour mieux concilier les activités de plein air et la conservation des milieux naturels au mont Saint-Bruno : des organismes demandent une plus grande bienveillance de la population 

En parallèle des réflexions entourant la création d’une table de concertation abordant l’accessibilité à des fins récréatives dans un contexte de protection des milieux naturels du mont Saint-Bruno, Nature-Action Québec, le Parc national du Mont-Saint-Bruno (SÉPAQ), la Défense nationale, la Fondation du Mont-Saint-Bruno, Sentiers vélo Mont Saint-Bruno ainsi que les Villes de Sainte-Julie, de Saint-Bruno-de-Montarville et de Saint-Basile-le-Grand s’unissent pour rappeler les bonnes pratiques assurant le bien-être de ce milieu d’une grande valeur écologique.

Gérer une propriété protégée : tout un contrat!

L’équipe Conservation de NAQ travaille avec acharnement afin de protéger des milieux naturels à perpétuité et ainsi maintenir des sites de haute valeur écologique à leur état le plus naturel possible. Mais qui dit protection à perpétuité dit aussi gestion du terrain afin de prévenir sa dégradation au fil des ans et y favoriser la biodiversité. Un véritable engagement qui nécessite des suivis rigoureux et des équipes de gestion des propriétés dévouées.

Agir pour maximiser la biodiversité en milieu agricole

Certaines régions du Québec ont un fort potentiel agricole. Les terres les plus fertiles se trouvent principalement dans le sud du Québec, où le climat est aussi le plus propice aux cultures. Le Centre-du-Québec (93 %), la Montérégie (86 %), l’Estrie (69 %) et Chaudière-Appalaches (67 %) sont les régions du Québec avec les plus grandes superficies agricoles. Malgré tout, seulement 2 % du territoire québécois est exploité pour l’agriculture (source : UPA). Ainsi, les terres fertiles sont souvent exploitées au maximum de leur capacité, ce qui crée dans plusieurs cas un risque pour l’équilibre de la biodiversité de ces milieux. En effet, ces terres fertiles ont un fort potentiel agricole, mais sont aussi des milieux propices aux habitats fauniques et floristiques.

Lutter contre les espèces végétales exotiques envahissantes dans les milieux naturels

Ces plantes exotiques (qui viennent d’ailleurs), introduites volontairement ou par mégarde, s’adaptent et colonisent de vastes milieux naturels et/ou espaces verts, pouvant ainsi dégrader l’habitat de nombreuses espèces indigènes du Québec. Plus précisément, elles remplacent des écosystèmes hétérogènes variés par des écosystèmes uniformes, moins accueillants pour la faune et la flore indigène. Au Québec, on retrouve plusieurs espèces comme la renouée du Japon, le roseau commun (ou phragmite), le nerprun bourdaine et cathartique, la salicaire pourpre, etc.

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