Depuis une vingtaine d’années, on constate que les coûts reliés aux catastrophes naturelles augmentent constamment et de manière importante. Tant les extrêmes climatiques que les activités humaines sont à blâmer pour l’augmentation des dépenses. En effet, dans la réalité du Québec, des situations plus propices aux inondations prennent leurs sources dans les régimes de précipitations modifiés, dus aux changements climatiques, et dans l’étalement urbain.